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Inauguration du sentier de la vie
dimanche 22 mai 2011, par

Il y a des inaugurations plus sportives que d’autres où l’on ne se contente pas seulement de se retrouver autour d’un verre. C’était le cas de l’inauguration samedi 21 mai 2011 du sentier la vie, 6ème chemin balisé par le SIPAVAG sur la commune de Claix, puisque nous en avons parcouru une bonne partie, du Peuil au Chatelard.
Voilà ce que dit Jean- Claude Michel sur le nom de ce sentier, extrait de la fiche sentier que vous pourrez découvrir là : http://www.ville-claix.fr/france/DT1261665782/page/Les-sentiers.html.

Je vous propose quelques photos de cette inauguration, juste pour vous donner envie d’aller faire une petite balade sur ce sentier qui chemine en forêt du Peuil à Seyssins.
Pas de difficultés particulières le long de ce parcours puisque le chemin est tracé et balisé tout le long. Il faut simplement éviter de l’emprunter par temps de pluie, le sol peu devenir glissant.
Vous pourrez découvrir en passant le Rif Talon les superbes seuils en pierre de taille que nos anciens ont construits pour dompter ce ruisseau. La vue sur Grenoble est également très belle.
Et au retour vous pourrez aller prendre le thé au Crêt du Loup car vous ne trouverez pas le buffet auquel nous avons finalement participé comme dans toute inauguration !
Bonne balade
Messages
22 mai 2011, 07:48
Belle balade en effet. J’avais participé à l’élaboration de ce sentier au sein de la commisson.Un évènement majeur m’a empêché de me joindre à cette inauguration mais...j’ai eu une pensée.
5 septembre 2011, 17:45
Ce sentier etait tres pratiquable avant que les engins ne l’élargisse.Cela à eu pour effet de lui enlever de son charme, d’affaiblir le coté montagne du chemin et l’on retrouve maintenant de gros cailloux sur le sentier.
En aménageant les sentiers de montagne qui deviennet pratiquables pour tous, on crée un surplus de promeneurs pas toujours citoyens qui de plus dérangent la faune.
5 septembre 2011, 20:54, par Bob
Certains passages sur sa première moitié de parcours étaient auparavant obstrués par de gros rochers éboulés et d’autres devenus dangeureux car le terrain avait glissé. La deuxième partie était, elle, bien sûr praticable